30 Mars 2015
Evie fête son anniversaire dignement et décide d'aller à Las Vegas. Au matin, elle ne s'attendait pas à se retrouver en compagnie d'un homme et encore moins marié à lui. David, quant à lui, semble se souvenir de tout et prend assez mal sa réaction. Contre toute attente, il part sans rien dire. Dès les premières pages, j'ai su que j'allais aimé ma lecture. Très vite je me suis attachée aux personnages. Il faut dire que le ton était donné. Après cette folle nuit, Evie se rend compte que ce mariage, cette soirée, et même son nouveau tatouage font la une des magazines. Tout ce qu'elle veut, elle, c'est divorcé.
Bien sur, comme on peut s'en douter, nos deux personnages vont à nouveau faire connaissance, et finalement, ce divorce ne semble plus d'actualité. Leur relation, du début, m'a beaucoup plu. Evie découvre une facette de David totalement différente de la fois où ils se sont retrouvé pour établir les papiers du divorce. Et au fond d'elle, elle regrette finalement de n'avoir que quelques jours devant elle.
Le milieu du roman ralentit au niveau rythme, d'où mon classement. Certains passages étaient un peu long, pas ennuyeux, mais on attend plus. Plus de sentiments, d'émotions fortes. En revanche, à partir du moment où les choses tournent mal, l'histoire devient tellement plus intrigante ! Spoiler : Il faut dire que c'est un choc pour Evie, qui surprend le premier amour de David avec lui. Comme beaucoup, le comportement de David, qui pense que Evie va de suite lui pardonner m'a un peu rendue perplexe. Par contre, j'ai bien aimé qu'Evie ne lui saute pas de suite dans les bras ! Enfin une réaction normale ! :)
La fin du roman conclue parfaitement l'histoire. Et comme je l'ai dit plus haut, elle donne envie de lire la suite ! C'était donc une bonne lecture, surtout le début et la fin ! Avec un petit moins pour le milieu mais auquel on ne tient pas rigueur.
Sans un mot, il s’éloigna de moi et traversa la cage d’escalier.
— Mal ? cria David.
— Quoi ?
— Ferme la porte. Ne viens ici sous aucun prétexte. Pas tant que je ne te donne pas le feu vert. C’est compris ?
Il y eut un silence puis Mal cria à son tour :
— Et si jamais il y a le feu ?
— Brûle.
— Va te faire foutre.
La porte du bas claqua.
— Ferme à clé !
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